Noëlle Echiffre                                                                                      Accueil Noëlle Echiffre
 
Les remous




 





 

Tel un frisson retranché
les bras prêtent la main aux paumes.
En creux, il y est l’être aimé, le projet attendu
ils sont infiltrés dans un recoin, une poche






L’instant subsiste et les remous
percutent à travers l’étoffe.
L’être et le projet n’y sont plus.
Le souvenir les épargne








Présences proches et répétées indispensables.
Paroles distancées, silencieuses.
Tons d’attentes de reprises.
Tous donnent formes, ça se joue à un moment offert




 


 
 
Ce qui devient objet s’aventure et transforme
Du chagrin de l’absence, il se fait partie prenante.
Du passé il était sujet, acteur ressenti au présent
Par lui des tendances chez d’autres
 
Il y a un reste bien entendu et immaitrisable      
De là, ma préoccupation, il ne va.







 

  • Hervé dit :
    15/11/2020

    Douce Magie de l' Eau, de la Végétation, et des Mots...
    Merci Noëlle !

  • Sophie dit :
    8/11/2020

    Ah Noelle, j'ai mis du temps à ouvrir la newsletter mais ,après vue et revues, comme toujours pour moi une magie de la rencontre entre ce que tu montres et ce que tu écris.....Merci, encore et encore

  • Hubert dit :
    7/11/2020

    Je complète : la 4ème photo me plait au plus haut point !!

  • Hubert dit :
    7/11/2020

    Trop belles tes photos Noelle et si sensibles et émouvantes ; je te retrouve tellement bien dans tes textes

  • Cachou dit :
    6/11/2020

    Le manque apprivoisé, qui accompagne comme un nouvel ami, un confident pour souvenirs à partager ... Des remous surgit aussi l'acceptation.

  • Claude HERSANT dit :
    3/11/2020

    Des remous de l'eau à ceux du souvenir, belle série lumineuse, texte et images. J'aime particulièrement la première photo.

  • Evelyne dit :
    2/11/2020

    J'aime bien la première photo et le texte même si il me paraît un peu énigmatique

  • Myrtille Echiffre dit :
    2/11/2020

    Sur la deuxième photo, je crois presque deviner le pantalon large et marron de papa qu'il aimait tant. Peut-être est-ce une projection de ma part, peu importe d'ailleurs...



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